Couverture médiatique
Explorer les implications des technologies biométriques au Québec : Antoine Guilmain cité dans La Presse
Au Québec, les entreprises ont de plus en plus souvent recours à des technologies biométriques pour surveiller les activités de leurs employés, une pratique qui soulève d’importants enjeux de protection de la vie privée. Selon un récent rapport de la Commission d’accès à l’information (CAI), elles enfreignent souvent la réglementation en la matière. Par conséquent, la CAI insiste sur le fait qu’une telle collecte de données doit être nécessaire et proportionnelle aux objectifs poursuivis. Elle invite donc les entreprises à reconsidérer leur approche à l’égard de la surveillance biométrique afin de respecter la loi.
Antoine Guilmain, cochef du groupe Cybersécurité et protection des données de Gowling WLG, s’est récemment entretenu avec La Presse pour exprimer ses réserves quant aux politiques du Québec en matière de biométrie, qu’il juge trop complexes et contraignantes par rapport aux normes mondiales.
« On a le sentiment que la biométrie, c’est futuriste, mais c’est très fréquent et ça se voit de plus en plus. J’ai l’impression qu’il y a un cadre trop strict ou mal adapté dans la modification à la Loi concernant le cadre juridique des technologies de l’information [projet de loi 25]. »
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À propos du groupe Cybersécurité et protection des données de Gowling WLG
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