Maxime Faille, le chef du groupe Droit autochtone de Gowling WLG, a quitté Ottawa pour déménager au bureau de Vancouver du cabinet, où il continuera de servir la clientèle à l’échelle du pays. Il s’agit d’une décision stratégique qui permettra au cabinet de répondre à la demande croissante des clients dans le domaine du droit autochtone en Colombie-Britannique.
Au cours de sa carrière, Maxime s’est forgé l’une des plus solides pratiques du droit autochtone au pays. Il a ainsi travaillé en étroite collaboration avec des gouvernements et des entreprises autochtones de partout au Canada, ainsi qu’avec des parties intéressées du secteur privé cherchant à faire des affaires avec les collectivités autochtones. À cet égard, son travail était principalement axé sur les droits ancestraux et les droits issus de traités, l’imposition des Premières Nations, l'autonomie gouvernementale, la consultation et l’accommodement des Autochtones, les ententes sur les répercussions et les avantages ainsi que le développement économique des Autochtones.
« Même après avoir passé près de vingt ans au sein du cabinet, Maxime continue de nous impressionner par son audace en tant que chef et son engagement à obtenir les meilleurs résultats qu’il soit pour nos clients », d’affirmer Peter Lukasiewicz, chef de la direction de Gowling WLG (Canada). « Au cours des dernières années, on a constaté une augmentation considérable de la demande de services de première qualité en matière de droit autochtone sur la côte Ouest. Depuis notre bureau de Vancouver, Maxime jouira d’une présence idéale pour faire croître notre groupe de droit autochtone tout en continuant de conseiller nos clients à l’échelle du pays. »
Maxime est fréquemment reconnu parmi les meilleurs avocats du Canada en droit autochtone par les plus importants organismes de classement, dont Chambers, Lexpert et Benchmark. Plus tôt dans l’année, ses aptitudes d’avocat plaidant et son dévouement envers les clients ont été reconnus officiellement dans le cadre du gala Benchmark Canada Awards de 2016, alors qu’il s’est vu nommé avocat de l'année en droit autochtone.
« À mesure que les mandats juridiques en matière de droit autochtone se complexifient en Colombie-Britannique et que les enjeux y afférents deviennent de plus en plus importants, notre équipe de droit autochtone s’est sans cesse montrée à la hauteur, en obtenant invariablement des résultats remarquables pour nos clients » d’expliquer Maxime. Je suis enthousiasmé de travailler avec les membres du bureau de Vancouver afin de poursuivre sur cette belle lancée, tant en Colombie-Britannique que partout au Canada. »
Le groupe Droit autochtone de Gowling WLG agit depuis plus d’un demi-siècle en tant que conseiller auprès des Premières Nations, des Métis et des Inuits du Canada, ainsi qu’auprès de clients du secteur industriel et du gouvernement qui travaillent avec des collectivités autochtones. Durant cette période, le cabinet a joué un rôle déterminant quant à l’établissement de précédents, notamment dans le cadre de projets de développement de ressources naturelles, de conventions d’autonomie gouvernementale et d’arrêts de la Cour suprême.