Avec l’évolution constante des discussions autour de la législation canadienne en matière d’intelligence artificielle (IA), la prorogation du Parlement a suscité de nombreuses incertitudes quant à l’avenir de la réglementation dans ce domaine. Antoine Guilmain, cochef du groupe Cybersécurité et protection des données de Gowling WLG, s’est récemment entretenu avec The Globe & Mail et La Presse Canadienne pour donner son avis professionnel sur les conséquences de l’abandon de la Loi sur l’intelligence artificielle et les données (LIAD) et ses implications pour le cadre réglementaire canadien.

Selon Me Guilmain cette situation représente une occasion unique pour le Canada de réévaluer son approche en matière de réglementation de l’IA. Il remet en question la pertinence d’une loi d’application générale sur l’IA, suggérant que les lois existantes, les cadres d’autorégulation et les organismes sectoriels jouent déjà un rôle essentiel dans la mise en place de protections efficaces.

« C’est une tendance mondiale, indique Me Guilmain à The Globe & Mail, mais il est possible que dans cinq ou dix ans, nous réalisions que ce n’était pas la meilleure façon de procéder ». [traduction]

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À propos du groupe Cybersécurité et protection des données de Gowling WLG

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